AMBROSIO LISTER

☇ Nom complet → Son nom complet est siergo flores lister, mais sur ses papiers il ne figure que lister, celui de sa mère, elle était plutôt connue dans le paysage. En effets ils font partie des familles les plus riches de Downwell. Son père quant a lui était Mexicain, et c'est là bas qu'il a passé l'autre moitié de sa vie.  Son premier prénom est Ambrosio, il l'a toujours profondément détesté. Il en a aussi un second, Angel, qu'il n'utilise presque jamais et qu'il préserve comme un trésor. Il aurait aimé en faire son nom d'usage. ☇ âge → Ambrosio a quarante ans depuis le dix janvier, bien qu'il ne fête jamais vraiment cette date de bon coeur, ce sont ses amis qui le forcent à marquer le coup. Avec la quarantaine s'accompagne une crise existentielle, sa vie bouleversée par la mort de sa mère. › lieu de naissance : Aussi surprenant que cela puisse paraître pour quelqu'un qui redécouvre tout juste la ville, il est né à downwell  et  y a  grandit. ☇ occupation →: Il vient d'hériter de la fortune de sa mère, pour l'instant il n'a pas besoin de travailler. Il ne sait pas encore ce qu'il va faire ici, à vrai dire il ne sait pas où il en est dans sa vie, sans doute va t-il reprendre les chambres d'hôtes de sa mère après de lourdes rénovations. ☇ situation amoureuse →  Célibataire, il est inscrit sur un site de rencontre mais il peine à s'engager, tantôt trop exigeant, tantôt trop frigide. Difficile de faire tomber les barrières érigées autour de son coeur meurtri  ☇ situation amoureuse → Il n'a jamais réfléchi au sujet parce que la question ne s'est jamais posée, l'hétérosexualité s'est imposée comme une norme au sein de laquelle il s'est toujours senti à l'étroit. Il a recherché dans toutes les femmes de sa vie un modèle maternel qui n'avait rien d'un véritable amour. ☇ son fandom/univers →TAL universe.

Ambrosio aime beaucoup le dessin et il n'est pas rare de le voir occuper ses après-midi dans le jardin à crayonner. Si il avait pu faire le métier de son choix, il aurait sans doute été peintre. Au final, il a fallu qu'il quitte l'Anglette pour réaliser son rêve, lorsqu'il vivait au Mexique il vivait de ses toiles et de services rendus à ses voisins. Il pourrait se reconvertir en peintre en bâtiment. +  Il aime être au contact de la nature, il est capable de rester plusieurs heures sur une chaise à écouter le chant des oiseaux et ne réfléchir à rien. Il a besoin de ces moments de pauses, dormir à la belle étoile est un de ses plaisirs coupables. Malheureusement, il est déçu de retrouver la grisaille de l'Angletterre. + Ambrosio a une haute tolérance à la douleur, on lui a déjà dit qu'il avait le sang-froid pour être médecin. Il accourt toujours quand il y a des problèmes et possède un diplôme de secouriste. En soirée, c'est souvent lui qui s'occupe de ceux qui ont trop bu et qui propose de les ramener. + Il ne se balade jamais torse nu, même chez lui, il n'est pas à l'aise avec sa propre nudité et celle des autres. C'est sans doute le seul mec qui ne sera pas ravi de se trouver sur une plage avec des jolies filles en bikini. Il ne supporte pas les beaufs de ce genre, il a déjà cassé le nez de types qu'il trouvait mysogines. + Ambrosio est du genre à s'attirer des ennuis et régler ses soucis avec les poings et les cris. Le mettre hors de lui demande un d'effort mais une fois fait,  il en faut autant pour le faire redescendre en pression. La premier soir de son arrivé à Donwell il a finit au poste après avoir tabassé un type au bar. + Son casier judiciaire témoigne de ses écarts. Même quand il était plus jeune il a eu des problèmes avec ses camarades, il a souvent changé d'établissement scolaires et fait la moitié des internats disponibles dans un rayon de 200km. + Il ne rate jamais l'heure du thé, depuis son retour il profite, il n'a jamais consommé autant de thé. + Il fait encore des terreurs nocturnes. Dormir sans son ancienne chambre d'enfance est une torture, alors il préfère s'installer dans le salon devant la cheminée. Il est joignable à n'importe qu'elle heure de la nuit, il préfère dormir tôt le matin ou dans la matinée et faire une sieste après manger.  + Poursuivre le rêve de sa mère est une ambition à laquelle il inspire sincèrement, il voudrait pouvoir trouver une raison de l'aimer, se dire qu'il n'y a pas eu que de la violence dans sa jeunesse.

— Ambrosio n'est pas issu d'une union heureuse. Son père l'a reconnu mais il ne s'est jamais marié avec sa mère, il a disparu quand il était jeune et il a grandit avec sa mère. Une horrible femme avec qui il n'avait rien en commun. Les disputes ont commencé à éclater, puis quand il est devenu adolescent ils ont en sont venus aux moins. Les objets volaient à travers le manoir Lister et il avait la réputation du sale gosse. Il s'est prit plusieurs torgnoles, mais tout à basculé lorsqu'à 17 ans sa mère l'a frappé avec un tisonnier. Il a gardé la cicatrice, une vilaine brûlure qui a failli ne jamais cicatriser. C'est à ce moment qu'il a réalisé qu'il devait partir.
— Mauvais à l'école, il est de ceux qui ont fait l'école buissonnière. Ses anciens camarades doivent se souvenir d'un garçon qui ne restait pas plus d'un mois, qui trainait les bars et les clubs la nuit et se droguait au lieu de réviser. Il n'a aucune diplôme qualifiant, il a quitté Donwell et l'Angletterre quand il a eu vingt ans, laissant tout derrière lui pour s'installer au Mexique et retrouver son père. Le pari lui a réussi.
— C'est sur place qu'il a apprit à pleindre, à faire de la maçonnerie et tout un tas de choses manuelles. Il propose volontiers ses services à qui est prêt à le payer. Il s'est ausis intéressé à l'art et a pu ouvrir son propre atelier. Tout laisser tomber n'a pas été facile, ce sont les plus belles années de sa vue. Un peu plus de vingt ans qu'il a passé avec sa grande famille, à rencontrer ses cousins et faire la fête. Sourire à la vie. Il a presque oublié ce qu'il a traversé et son enfance chaotique. Pratiquement trouvé l'amour, failli construire une famille.
— Ce qui a brisé son couple, c'est le refus d'avoir un enfant. Il était heureux avec une  belle demoiselle qu'il a rencontré alors qu'il faisait le portrait de sa grand-mère. Ils ont passé cinq belles années hors du temps à flirter et voyager dès qu'ils en avaient le temps. Elle voulait une fille, ou un garçon, elle lui demandait si des jumeaux le rendraient heureux. Il ne pouvait pas, pas après tout ce qu'il a subit, alors il a préféré fuir. Ils se sont lentement éloignés jusqu'à ne plus jamais se parler.
— Et puis, le drame. La nouvelle qui lui tombe depuis, il y a quelques semaines, un coup de fil de la capitale. Sa mère est morte, elle a laissé derrière elle son manoir, son affaire, tout à son nom. Il a prit l'avion et tout quitté pour gérer la sucession. Il se retrouve entre ses murs qui gardent secrètement ses cris, ses pleurs, tout ce qu'il n'a jamais dévoilé au monde. Ne sachant pas quoi faire. Il la hait pour lui laisser ce poids sur la épaule, tout comme il sait que fuir encore ne règlera rien. Son deuil est difficile et il a besoin d'être entouré du reste de sa famille.