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 maj rp

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MessageSujet: maj rp    maj rp  Icon_minitimeDim 1 Déc - 16:44

Il n'imagine pas la souffrance que lui causerait la perte d'un membre de sa famille. Il a toujours eu le sentiment qu'elle était sous sa responsabilité, qu'elle faisait partie de lui comme un organe vital qui n'est pas à l'intérieur de son corps, mais qui en est une extension. Il n'y survivrait pas. La mortalité de ses parents est un concept qu'il peut envisager, qu'il ne peut nier, celle de ses frères et sœur. Il ne peut pas s'imaginer un monde où l'un d'entre eux quitte cette terre avant lui. Ils ont toute leur vie devant eux, tandis que celle de Cecil est déjà bien avancée. Il approche de la quarantaine, il n'a pas d'enfant. Il est seul, enchaînant des relations sans avenir, tombant toujours amoureux des personnes qu'il ne faut pas. Il n'a pas réalisé grand chose dans sa vie, mais il est s'est occupé d'eux et il sera toujours là pour sa famille. C'est la chose la plus importante, personne n'y touche. Le blond refuse qu'on la critique, il est prêt à mettre fin à des amitiés si ont se permet de blesser l'honneur des Goldschmidt. C'est lui qui donne toute son unité à la tribu, il est est le coeur battant et ceux sont eux les poumons qui lui donnent cette énergie nécessaire, cet oxygène pour se battre. Il est le plus vieux, c'est à lui de partir avant eux Il s'en voudrait qu'il arrive quelque chose à un de ses cadets. Il se souvient encore des premières blessures, des séjours dans les hôpitaux, les jambes dans le plâtre, les entorses, ces accidents du quotidien qui ne sont pas fatals. Mais quand vous recevez un appel des urgences ou de l'école, ce n'est jamais agréable. Le cerveau s'amuse à inventer des scénarios catastrophes, l'inquiétude éclipse la raison. Quand il a grandi, c'est son nom que ses parents inscrivaient, son numéro à contacter en cas d'urgence. On lui a imposé ce stress, ces angoisses de voir les plus jeunes pleurer et s'inquiéter car ses parents ne pouvaient pas se permettre de ses soustraire à leur travail. Ce sont des choses que les plus vieux ont oublié, que les plus jeunes gardent dans un coin de leur tête sans réaliser ce que cela a demandé à Cecil. C'était lui qui quittait tout, séchait les bancs du lycée pour apporter accompagner lors des examens. Il est devenu le parent de ses cadets, forcé d'accompagner ceux qui ont suivi après lui, dire adieu à des études dans la grande ville car ici on avait encore besoin de ses services.
Il n'en aurait pas été capable sans sa détermination et l'aide de sa soeur. Celle qu'il a toujours considéré comme sa jumelle. Un an qui les sépare et pourtant, il a toujours eu la sensation qu'elle est la moitié manquante. Elle est tout ce qu'il n'est pas. Elle est son flambeau, son phare, la lumière dans la nuit et le soleil de ses jours. Alors il imagine un instant. Il imagine une seule seconde qu'il se retrouve obligé de la blesser, de la tuer ; il aurait préféré mourir à sa place. Si cela se jouait à la roulette russe, Cecil préférait se tirer une balle. Il n'a jamais aimé blesser les autres ; il donne des coups, il se bat et défend son honneur ainsi que celui de sa famille. Il ne le fait pas de gaieté de coeur. Le goût métallique du sang dans sa bouche est désagréable. La guerre est honteuse, la bagarre est basse.  Cecil sait que si il le fallait, il prendrait une vie, en cas de danger. Il a cette bestialité en lui, cette rage prête à tout consumer sur son passage, comme un fauve dont on s'approche trop près de ses petits. Dans le quotidien, il fait difficilement mal à une mouche, fuit les conflits, trace sa route loin de la discorde. Il est une source calme qui peut se déchaîner en cas de tempête, un océan mystérieux abritant des monstres dans ses profondeurs.
Il est au moins certain d'une chose. Il n'existe rien qui puisse aider Soren a surmonter cette peine et cette épreuve. Cecil réalise qu'il est face à une cause perdue. Il ne peut rien dire. Rien dire d'autre que des mots minables qui effleurent à peine le sérieux de la situation. Il a gorge serrée et l'envie de pleurer pour cette famille brisée. L'histoire lui fait froid dans le dos ; à aucun moment il n'a peur de Soren. Les questions sont nombreuses, mais une chose est certaine, la culpabilité de Soren n'est pas totale. « Tu dis ça comme si il y avait eu une erreur. Soren, tu as été jugé et je pense que tu es déjà en train de vivre la pire des peines. » Quoi ? Il aurait préféré la prison ? Se laisser mourir dans une cellule, être abusé par des codétenu, malmené par un système qui ne lui aurait laissé aucune chance de s'en sortir ? Il serait déjà mort. Et Cecil n'en saurait rien car jamais ils ne se seraient rencontré. Mais Soren ce n'est pas que ça. Soren sauve des vies tous les jours, il n'est pas un monstre.  « Ce que tu as vécu est horrible, mais ce n'était pas ta faute. C'est la faute de quelqu'un de cinglé qui vous a piégé... » C'est injuste. Parce que deux vies ont été brisée. Soren est mort avec son jumeau. L'homme qu'il a en face de lui n'est qu'une carcasse, qui n'est vivante que parce qu'elle respire. Une carcasse qui se reprochera toute sa vie d'avoir fait un choix. Le dilemme était cornélien. Il n'existait pas de bon choix. Soren se rapproche de lui et de la rambarde. Effrayé qu'il ne bascule, qu'il ne prenne une autre décision stupide. Il voudrait le prendre dans ses bras et noyer son chagrin contre son corps. Il ne peut pas. Il l'aurait fait avant, si son coeur ne battait pas pour un autre.  « Tu sais, j'ai une grande famille. Je suis l'ainé et derrière moi, j'ai neuf autres personnes qui attendent énormément de moi. Alors... je comprends ce que tu ressens et je comprend que tu puisse penser que tu mérités de mourir pour ce que tu as fait. » Il lui fait de l'air frais pour lui aussi. Il étouffe dans cet appartement, il étouffe à cause de larmes qui ne sont pas les siennes mais qu'il voudrait libérer. « Tu es autant un dommage collatéral que ton frère... Soren on t'a condamné à vivre. Tu ne penses pas que ton frère voudrait que tu t'en sortes, pour vous deux ?   » Et c'est si facile à dire, quand on est pas celui qui a serré jusqu'à ce que la vie s'échappe. Cecil n'a jamais tué personne et il ne pourra jamais vraiment comprendre ce qu'est la mort tant qu'il ne l'aura pas regardé droit dans les yeux.
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MessageSujet: Re: maj rp    maj rp  Icon_minitimeDim 1 Déc - 16:57

Cecil rêve d'avoir des histoires à raconter, des aventures qu'il pourrait partager avec ses frères et sœurs et leurs enfants. Il a toujours voulu être ce tonton qui rend les gosses admiratifs. Il n'aura jamais l'aval de ses cadets, il ne sera jamais rien d'autre pour eux qu'un père de substitution qu'ils jugent par habitude, parce qu'il faut bien un mouton noir à dénoncer ; mais il pourra être l'idole des garnements qui se foutent de ce qui est moralement acceptable. Il faut bien un mode de vie à montrer du doigt, comme si c'était la pire de choses et qu'il ne fallait absolument pas faire le reproduire. Cecil n'a rien fait qui l'empêche d'accéder au salut de son âme, il ne vit pas à la rue, il gagne son propre argent et s'est fait tout seul et souvent il ne comprend pas cette haine qu'on peut entretenir à son égard. Ce sont ses larmes salées qui l'ont sculpté au fil des années, ses déceptions et ses réussites qui creusent des sillons dans la roche, l'admiration de gens, celle dont il n'a pas besoin car il n'est au fond qu'un gosse qui aimerait entendre une fois la chose dans la bouche de sa mère. Il refuse d'avoir un coeur de pierre parce qu'il a été malmené, parce que contrairement à ce qu'il aurait espéré, on ne l'a pas assez prit dans ses bras assez, que les mots d'amour qu'on murmure à ses oreilles font partie d'une séduction qui ne dure qu'une nuit la plupart du temps. Il a souffert et continue de souffrir. Il souffrira encore et continuera de donner au monde ce que lui ne sait pas recevoir, ne sait pas garder. Il aimerait tellement que Briséis puisse recevoir, qu'elle puisse se défaire des émotions assassines dans son coeur. Il sait à quel point la douleur est désagréable et irrationnelle.
Mais, il ne sera pas cet oncle idéal. Car s'il peut payer ses factures et ses courses, il ne pourra jamais débourser assez pour se payer un billet d'avion. S'il peut le faire un jour, il espère que ce sera un aller sans retour, qu'il réussira à s'arracher d'Exeter la maudite. Qu'il pourra lâcher ce poids qui le retient, ce boulet qu'il traîne à sa jambe. C'est un espoir futile, il le sait. Il n'est pas assez égoïste pour laisser tomber ceux qui a défaut d'avoir foi en lui, ont besoin de sa présence. Tout juste bon à être utilisé. Il laisse les gens lui marcher dessus, se servir de lui pour tous leurs besoins. Si ils ont besoin qu'il sèche leurs larmes il le fera, si ils ont besoin de se sentir aimé il pourra trouver les bons gestes, les bons mots pour ouvrir les portes fermées. Il sauve tout le monde, mais personne ne le sauve lui. Il n'a rien de beau à raconter. Il n'a qu'une enfance monotone, l'église le dimanche et les été comme une bouffée d'air frais. Respirer loin de l'atmosphère étouffante de sa maison, une chaleur moins dense que l'angoisse de se retrouver tous cloitrés dans leurs chambres. Ses virées à l'extérieur, l'exploration de sa ville, la découverte de ses sentiments, il a épuisé sa jeunesse dans les étés interminables, dans la moiteur d'août, à courir après des rêves qui le maintiennent toujours éveillé. Il a détesté septembre, la chute des feuilles et le déclin du soleil et il continue de le penser, de déprimer l'hiver quand le monde entier perd ses couleurs. Toujours à deux doigts de décrocher le contrat qui ferait décoller sa carrière, il pourrait raconter qu'il est un lâche trope effrayé à l'idée de s'éloigner de son clocher. A la place, il immortalise le mariage des autres, il voit défiler ces amis d'enfance qui ont trouvé leur âme sœur alors qu'il reste seul. Il prend des clichés de leurs enfants, parfois pour les photos de classe et il ne peut que constater l'absence d'un bambin pour lui donner cette force de déplacer des montagnes. De faire les choses pour lui, pour eux, et sortir de ces habitudes. Il est souvent las, aussi souvent las qu'il est joyeux. Il se ment un peu à lui même et se raccroche à des minces espoirs.
Il n'essaye même pas une seconde de s'accrocher à Briséis. Il pourrait tenter après tout. Il y a une part de lui qui sait trop s'y faire avec les autres, qui s'enivre de la séduction, du magnétisme qu'il dégage. Un narcisse qu'il garde enfermé. Il ne peut pas la réparer, elle ne le laissera pas faire et il ne peut pas l'apprivoiser. Mais il peut la faire danser. Ça, c'est quelque chose qui est à sa portée. Il peut lui offrir l'espace d'un instant, d'oublier les tracas. Il se défait de son barda et le pose au bord de la scène avant de grimper dessus, la main dans la sienne. Cette chaleur humaine qui se dégage et qui lui sert le cœur. Elle ne fait plus d'électricité. Fût un temps où il était adolescent, transcendé par le moindre contact, demandeur de glisser ses doigts dans ceux de ses partenaires. Il fut un temps ou il était innocent et heureux et ce n'est plus le cas, peut-être qu'il peut le redevenir au moins pendant une dizaine de minute. Redevenir celui qu'on invitait au bal de promo, qu'on s'arrachait et qui finissait toujours pas se présenter au coté de la plus belle. Qui ne pouvait retenir ses yeux de se déposer sur les bouches maquillées de chaque demoiselles, retenir ses mains d'effleurer accidentellement celles des autres garçons à la recherche de cette lueur dans leurs regards. Un garçon qui a défaut d'être intelligent n'avait pas peur d'être lui même, une fois la nuit tombée, quand tout le monde regardait. Et pourtant, personne ne pouvait voir ce qu'il pensait réellement. Cela n'a duré qu'un temps. Il y a eu Earleen, ensuite. Il y a le goût amer de la déception, cette réalité glaçante. Il aurait pu rester stone et fermer les yeux, se laisser emporter dans leur conte de fée désenchanté, mais il a choisit le réel et sa cruauté. Déceptions sur déceptions. Chutes sur chutes. Il danse toujours avec le même entrain, avec l'assurance de quelqu'un qui n'a pas besoin de regarder où poser ses pieds. Il n'a pas peur de poser ses mains à ses hanches, d'agripper les chairs et de l'entraîner dans une valse rythmée. Il y croit suffisamment fort pour ne pas penser aux regards des passants et à leurs commentaires. Il a toujours eu cette âme d'artiste. Que ce soit la danse, le dessin, la photo, il lui faut créer. Il faut laisser son esprit vagabonder dans des zones où il ne devrait pas se rendre à l'ordinaire.
C'est bien mieux que ces mots peu convaincants. Il la tient pour de vrai, il ne va pas la lâcher. Il peut lui dire qu'il ne va l'abandonner, il peut aussi lui montrer, presser ses mains délicates et lui assurer qu'il ne va s'évaporer comme une vision dans un rêve. Il se dit qu'ils feraient dans doute une jolie photographie, un joli tableau à deux. Quelque de maudit et de condamné. Il ne connaît d'elle que cette danseuse au bord du vide et elle ne verra jamais rien d'autre qu'un voyeur, un admirateur dans la foule, un de plus. Il voudrait lui demander ce qu'elle retiendra d'eux, si elle se souviendra plus tard de ce qu'ils partageaient sans rien se dire. Il emportera peut-être avec lui le souvenir pendant quelques années, mais comme les couleurs finissent par se délaver et les coins se corner, elle tombera dans l'oubli comme tous les inconnus avant eux.
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MessageSujet: Re: maj rp    maj rp  Icon_minitimeDim 1 Déc - 17:41

Il dispose deux verres à bièrre sur la table, ceux qu'on sort pour les grandes occasions et l'argenterie qu'il a récupéré lorsque sa grand-mère est morte. Les assiettes à dessert sont moins pompeuses, c'est une vaisselle anglaise aux motifs fleuris. Elle savait recevoir et elle avait vu le potentiel de Cecil. Elle lui a légué ses plus beaux services, dans l'espoir qu'il organise de véritable banquets quand il serait plus vieux, marié à une jolie femme et à la tête de sa propre famille ; qu'elle espérait plus petite que ses dix petits enfants. Une nouvelle famille à aimer. Elle a vu de ses propres yeux un jeune Cecil s'acharner à la place de sa fille et si il avait réellement respecté ses vœux, il aurait prit de la distance, quitté Exeter et construit sa vie ailleurs. Malheureusement pour elle, Cecil invite rarement, il est loin d'avoir cette vie dans laquelle elle l'imaginait. Il n'a pas l'occasion d'user les couverts, tout est presque neuf, intact, tout juste sorti de son emballage. Alors, quand quelqu'un vient passer une soirée chez lui, il sort le grand jeu.  Au moins pour Ivory, qui mérite d'être bien servie à sa table. La seule fausse note est peut-être l'absence de vin ou de champagne, mais l'alcool n'est pas le fort du blond. Il préfère se contenter de bière, ça lui évite de se tromper en achetant une mauvaise bouteille. Le champagne, il le garde pour le nouvel an et le soir de Noël. Il ramène la même bouteille, chaque année, au repas de famille, mais personne n'y fait attention.
Sa famille de substitution, c'est elle.  Il a sa soeur, proche d'une jumelle, et il a Ivory. Le lien qui les unit est encore plus fort et le surprend souvent. Elle est comme un reflet, pire encore qu'une moitié. Il se voit en elle, une version féminine qu'il considère souvent comme meilleure, plus forte qu'il ne l'est vraiment. Cecil est tout en apparence, sous l'armure les fêlures sont nombreuses. Ils sont pareil et c'est sans doute pour cela qu'il l'aime. Elle n'est pas une Goldschmidt de sang, mais dans son coeur, elle en est une. Le sang ne fait pas tout, il l'a apprit. Il le constate tous les jours. Les autres ne sont pas là pour lui comme il l'a été pour eux, eux réussissent à voler de leurs propres ailes, s'épanouir loin du cocon familial. Un jour peut-être, Cecil aura terminé sa tâche, il en aura fini avec ses frères et soeur et il pourra se consacrer à ses autres personnes qui lui sont proche. Cette intimité qu'il ne s'autorise pas toujours. Que penserait sa mère d'Ivory ? Elle jugerait les tatouages, elle jugerait cette allure farouche, elle dirait sans doute d'elle que c'est une mauvaise fille. Sans la connaître. Sans savoir qu'elle est en or, qu'elle a un grand coeur.
Il a hâte de goûter ses gâteaux pour ajouter une qualité à la liste déjà longue des atouts d'Ivory. « Huum, est-ce qu'on peut dire que je suis un expert avec tout ce que je mange ? » Délicatement, il découpe une part et sert Ivory, puis prend une autre part qui n'a pas le temps de rencontrer l’assiette. Cecil mangea avec ses mains, goulument, comme un enfant. Il se fiche que ses doigts soient gras ensuite et qu'il soit obligé de lécher le chocolat ; là est tout le plaisir. Il ne se cache pas devant elle, il peut être au naturel et même parler la bouche pleine. « Levon est venu, on a fêté ça ensemble et il est resté dormir. » Il est parfois délicat de parler de Levon en sa présence. Il ne voudrait pas créer de la jalousie. Cecil sait que Ivory n'entretient pas de tels sentiments à son égard, mais il ne voudrait non plus qu'elle pense que maintenant que Cecil est un amoureux transi, il va la laisser tomber. L'oublier, comme si ils n'avaient rien vécu tous les deux. Elle reste sa meilleure amie. Il passe cependant sous silence l'épisode stressant où Levon s'est attaqué à son lit et a commencé à faire des choses étranges. Car c'était loin d'être comme Halloween, c'était bien réel et Cecil n'est pas encore certain de quoi penser de ça. « Je crois qu'on sort ensemble. » C'est encore frais dans son coeur; Encore trop beau pour être vrai. Enfin, si. On sort ensemble. Mais... j'ai peur d'aller trop vite et de tout cacher Ivo. » Sa vie romantique a toujours été chaotique. Hier encore, il pleurait Aslan. Ivory a seché les larmes que l'homme fait couler même des années après leur rupture. Si entre temps, il a pu partager certaines de ses aventures avec elle, elle doit se douter que le cas Levon est différent. Cecil s'attache. Il s'attache à un homme mystérieux, dont l'identité n'est même pas vraiment Levon.
Pour la première fois, il ne peut pas tout dire à Ivory et ça le vexe. « Et toi ? Tu es allé à la fête organisée par le maire ? » Même si ça en à l'air, Cecil n'essaie pas de changer de sujet. Il a entendu dire que la fête ne s'était pas forcément bien déroulé et il s'inquiète pour son amie. Une chose de sure, ses gâteaux sont excellents. Cecil se ressert une part et si il n'a encore rien dit, ses yeux parlent pour lui.
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MessageSujet: Re: maj rp    maj rp  Icon_minitimeDim 1 Déc - 22:59

Elle se sent à l'aise la nuit, oiseau de mauvaise agure. La nuit, on voit moins la saleté des gens, la nuit tous les chats sont gris. Il lui aura fallu un temps pour qu'elle s'y habitue à nouveau. Un temps d'adaptation pour ne plus grande les ombres qui se profilent derrière elle. Elle les voyait partout, ces lougs aux crocs aguisés qui av. .
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